Les API pour les nuls… et les curieux
Moi, mes pitchous, l’informatique, ça me donne encore parfois des frissons : pas de froid, non… de confusion. « API » par exemple. La première fois que j’ai entendu ça, c’était mon petit-fils qui m’en parlait, un dimanche, entre le fromage et la tarte aux pommes. Il bricolait une appli pour suivre les matchs de rugby et m’a lancé : « Mamie, tu connais les API ? ». Je lui ai répondu : « C’est une marque de lessive ? » Il a rigolé, puis il m’a expliqué. Et moi, j’ai trouvé ça malin, ce système qui fait le lien entre les applis.
Une API, c’est un peu comme moi quand mes petits-enfants veulent se comprendre entre eux – entre celui qui ne jure que par l’anglais et l’autre qui ne baragouine qu’en emojis… Je traduis, je transmets, je calme les ardeurs et je garde le lien. Voilà ce que fait une API entre deux applications.
Pas besoin d’avoir fait Polytechnique pour piger. Il suffit d’un brin de curiosité. Et un petit café, bien sûr. Alors aujourd’hui, je vous raconte comment j’ai compris ce bidule et pourquoi on devrait tous lui dire merci plus souvent. Sans stress ni charabia. Comme on raconterait une bonne vieille recette de cassoulet.
Une API, c’est une traductrice avec des rollers
L’autre jour, j’essayais d’aider ma voisine Ginette à réserver un billet de train en ligne. Et là, miracle : en deux clics, l’appli connaît notre adresse, le trajet, les horaires… Elle nous sort tout, comme si elle lisait dans nos pensées. Et moi, je me dis : « Mais comment elle fait, cette appli, pour savoir tout ça ? »
Eh ben voilà, c’est l’API qui fait le boulot. Elle court entre votre appli SNCF, la carte, les horaires, le moyen de paiement, et elle ramène tout bien emballé. C’est une traductrice, une livreuse, une intermédiaire avec des rollers aux pieds. Et rapide avec ça ! C’est un peu comme quand une entreprise fait tourner un site e‑commerce : le stock, les paiements, les livraisons… tout doit être coordonné sans accroc. Et là encore, ce sont les API qui orchestrent la partition.
Comme moi, quand je courais entre les chambres pour faire passer un message entre mes enfants qui se boudaient. L’un disait : « J’veux pas lui parler. » Et moi, je faisais la navette, en traduisant les humeurs. Une API, c’est pareil : elle fait passer les infos entre deux logiciels qui ne savent pas se parler. Et vous, vous voyez juste le résultat. Nickel. Comme dans une boîte où la commande client passe automatiquement du site web à l’outil logistique, puis à la facture. Personne ne voit l’API, mais tout le monde en profite.
Pourquoi c’est utile (dans la vie et au travail) ?
Quand j’étais institutrice, on bricolait tout avec trois bouts de ficelle. Mais aujourd’hui, dans le monde numérique, si on devait tout faire à la main, on serait vite dépassés. Une appli toute seule ne peut pas tout faire. Elle a besoin des autres. Et pour ça, y a les API.
Imaginez : vous développez un outil pour répertorier les meilleurs marchés du coin, ou bien un espace partagé pour gérer les rendez-vous clients d’une équipe. Vous n’allez pas inventer une carte, un système météo, un agenda interactif ou un moyen de paiement de zéro. Vous piochez ce qui existe déjà, et vous le branchez à votre application grâce aux API. Pratique, non ?
Même mon petit-fils Lucas, qui bricole des applis dans sa chambre entre deux troisièmes mi-temps de rugby, utilise des API. Il me dit : « Mamie, c’est comme si je branchais mon appli à une prise de courant. » Eh ben voilà. L’API, c’est la prise.
Et ce n’est pas réservé aux grosses boîtes de la Silicon Valley. Les petites entreprises, les indépendants, et toutes les équipes qui travaillent avec des outils numériques peuvent en profiter aussi. Pour connecter leurs outils, automatiser ce qui peut l’être, gagner du temps et travailler plus sereinement. Dans ce monde qui va vite, savoir qu’il existe des moyens simples pour collaborer intelligemment, c’est presque poétique.
Comment ça marche ? En gros.
Bon, on va rester simples. Parce que je vous vois venir : « Simone, t’es bien gentille, mais moi, les bits et les octets… » Alors écoutez bien : une application fait une demande – une « requête », comme ils disent – à une autre appli via une API. L’API transmet la question, récupère la réponse, et revient avec une info toute prête.
Par exemple : « Dis, tu peux me dire s’il y a du soleil à Albi demain ? » Et hop, l’API va interroger le service météo, revient avec la réponse, et votre appli vous l’affiche. Vous, vous n’avez rien vu passer. Pas besoin de comprendre comment la météo calcule ses trucs. Vous avez l’info. C’est tout.
Et ce principe-là, il vaut aussi au boulot. Dans une boîte, une appli de gestion peut envoyer une requête à un outil comptable : « Tu peux me dire où on en est du paiement de Madame Dupont ? » L’API fait le lien entre les deux logiciels, qui parlent pas forcément la même langue. Et bim, la réponse s’affiche.
C’est comme quand je demande à mon voisin Bernard de me prêter sa perceuse. J’ai pas besoin de savoir comment elle fonctionne. Je sais juste que Bernard la connaît, qu’elle marche, et qu’il me la prête sans poser de question. L’API, c’est Bernard. Fiable, simple, discret.
Dans la vraie vie, ça donne quoi ?
Tenez, ce matin. J’ai regardé la météo sur ma tablette, réservé une table au resto pour samedi, et envoyé une photo de mes iris en fleur à ma cousine Paulette. Trois applis, trois actions et, au milieu, des API. Et c’est pareil dans une entreprise : gérer les rendez-vous clients, intégrer les données marketing, synchroniser les stocks… Tout passe par des API bien faites.
C’est elles qui vont chercher l’info, qui la ramènent, qui s’occupent de tout. C’est pas moi qui fais le tour des sites météo, qui appelle le resto, ou qui envoie la photo par pigeon voyageur. C’est fait, en douceur, en silence.
Je me souviens de l’époque où il fallait tout faire soi-même. Aller à la mairie pour connaître les horaires du bus. Appeler les commerçants un par un. Maintenant, ça se fait en un clin d’œil. Et sans API, on en serait encore à coller les pages jaunes sous le combiné.
Ce qui me plaît surtout, c’est que tout ça reste humain, au fond. Parce que derrière chaque API, y a des gens qui veulent rendre la vie plus simple. Et moi, je dis merci. Merci aux petites mains du numérique. Parce qu’en entreprise, ces petites interfaces permettent de travailler mieux, de gagner du temps, et de faire collaborer des outils qui, autrement, se tourneraient le dos.
Une API, c’est comme moi dans ma famille : toujours là pour faire le lien, apaiser les tensions, et faire passer les bons messages. Sans elle, les applis seraient comme des ados enfermés dans leur chambre, chacun dans son monde.
Grâce à elle, tout roule. On commande une pizza, on suit ses colis, on papote avec les copains – et on comprend même ce que raconte son appli bancaire. Une petite révolution tranquille, qui change tout sans en avoir l’air.
Alors la prochaine fois que vous utilisez une appli et que tout marche comme par magie, pensez à elle. Cette API silencieuse, efficace, et un brin généreuse. Elle fait le lien, elle rend service, et elle ne demande rien en retour.
Et si vous travaillez en entreprise, c’est encore plus vrai. Parce que dans le monde pro, les API permettent d’éviter bien des doublons, des copier-coller à rallonge et des tableaux Excel interminables. Elles font parler les logiciels entre eux, elles automatisent les échanges, elles économisent du temps et des erreurs. Elles sont les petites clés qui ouvrent de grandes portes : synchroniser un agenda avec une base client, relier un outil de gestion à un CRM, ou encore faire dialoguer une appli RH avec la paie.
C’est pas seulement pratique. C’est malin. Et surtout, c’est un vrai levier de fluidité dans les équipes. Moi, si j’avais eu ça quand je gérais les conseils d’école, les bilans, les plannings… j’aurais dormi bien plus tranquille.
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Cet article a été généré par ChatGPT, en plusieurs étapes que nous allons détailler ici.
Dans cet article, SIMONE explore le fonctionnement des API, avec un ton personnel, chaleureux et accessible. L’idée est de rendre ce concept technique à la fois compréhensible et attachant, en mêlant anecdotes personnelles, références du quotidien et clins d’œil professionnels. L’objectif : permettre à tout le monde, même les moins techniques, de saisir l’utilité concrète des API, notamment dans le cadre professionnel.
STEP 1 : Poser le sujet en donnant des instructions claires : domaine / objectif / intention / ton / cible
Tu es mon assistant pour la rédaction d'un article de blog sur la découverte des API, ces interfaces qui permettent aux applications de communiquer entre elles, sans se limiter à une simple définition technique, mais en reflétant leur utilité concrète, notamment dans un contexte professionnel. Ton objectif est de m'aider à rédiger un article dans le style rédactionnel de SIMONE, défini au préalable, avec l'intention d'expliquer le sujet avec humour, chaleur et simplicité, tout en y apportant sa perspective personnelle et son charme unique. L’objectif était de faire comprendre ce concept technique à travers les yeux de Simone, octogénaire curieuse et pleine de bon sens, en gardant un ton léger, accessible, mais aussi informatif.
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L’article doit contenir les mots-clefs principaux ainsi que ses synonymes. Cet article doit-être optimisé pour les moteurs de recherches.
Crée une méta-description de 50 mots maximum et ajoute-la à la fin de l’article.
Bien entendu, tout au long de ces étapes, l’intervention humaine est primordiale :
il faut reformuler et préciser chaque demande si nécessaire, ajouter des détails et des spécifications, réviser, ajuster, relire, modifier…
L’image a été générée par MIDJOURNEY avec le prompt suivant :
A vintage educational diagram showing how an API works, illustrated like a 1960s school science textbook. A server and client are depicted as cheerful characters, exchanging envelopes labeled "Request" and "Response". Arrows and labels explain the steps in a simple, humorous way. Created Using: muted primary colors, retro illustration style, halftone textures, aged paper background, friendly hand-drawn fonts, simple cartoon characters, visual metaphors, soft ink outlines, light academic nostalgia --ar 16:9